Cher Maître,

Lors de mon séjour à Paris, en 1959, j’ai adhéré à votre Société Anatale France sur les instances de M. P. Grunebaum-Ballin à qui j’avais rendu visite.

L’été dernier j’ai passé, invité par les Relations Culturelles, et par une lettre do Mme Suzanne Lion une quinzaine à Paris. Je regrette que je m’aie pa pu prendre contact directement avec vous /nous nous sommes vus une fois en 1944 ou 45 lorsque j’étais rédacteur de DROIT ET LIBERTÉ/, et en général avec la Société, autrement que par une visite rapide à la librairie de M. Ph. Delatte avec qui j’ai eu un petit entretien...

Depuis le N° 1 des Cahiers Franciens, paru en août 1971, je n’ain rien reçu. Pourtant LE LYS ROUGE et les autres publications de notre Société me sont précieuse. J’y ai largement puisé pour mes nombreux travaux franciens /j’ai écrit beaucoup de préfaces, postfaces pour ses bouquins dont j’ai traduit LES DIEUX SOIF/, surtout pour le dernier. Il s’agit d’une plaquette dont je viens de corriger les épreuves et qui doit paraître bientôt dans une série intitulée LE MONDE DES ÉCRIVAINS. C’est une étude illustrée de nombreux documents /photos, lettres, manuscrits, etc./ où, d’ailleurs, je cite pulsieurs fois votre nom /comme je l’avais déjà fait notemmant dans ma longue préface pour LA REVOLTE DES ANGES/. Mon livre passe ne revue toute la vie et 14 oeuvre entière de notre maître.

Par ailleurs j’ai fait une dramatique de LA CHEMISE de France, qui a passé sur les antennes de la Iére chaîne de la télévision hongroise à Noel et a été vue par au moins deux millions de spectateurs.

Croyez, Monsieur le Président, à l’assurance de mes sentiments franciens les plus distingués.